En matière de littérature comme ailleurs, il est aisé de cataloguer, classer, ranger selon de grandes catégories: Aventure, Romance, Historique, Science-Fiction, etc.
Si cela facilite grandement le choix du lecteur ou du spectateur, c’est également une approche très simpliste d’un thème qui, lui, est très général.
Prenons l’exemple de la série des Indiana Jones. Classé par la grande base de données IMDb comme « Action / Aventure ». L’association des deux mots-clés permettant de mieux affiner le classement… Oui mais si l’on prend ces deux mots-clés comme référence, on constate que l’on y trouve également le film Maléfique ! Reconnaissons que ces deux films n’ont pourtant pas grand chose à voir l’un avec l’autre.
La science-fiction ne déroge pas à cette règle, et elle est très souvent réduite à cette grande catégorie. Mais saviez-vous qu’il existe de nombreux courants de science-fiction ? Parfois très éloignés les uns des autres ! Et que ces courants peuvent vous en apprendre beaucoup sur le type d’histoire que l’œuvre va vous conter.
Ce sont ces différents courants que je vous propose de décortiquer dans cet article.
Nous allons d’abord prendre connaissance des deux grandes familles de SF, puis nous verrons qu’au sein de chacune d’elles nous pouvons retrouver un ensemble de sous-catégories. Et ne vous inquiétez pas, l’ensemble des œuvres cinématographiques ou littéraires que je vais évoquer seront rassemblées à la fin de cet article. Au cas ou vous désireriez vous intéresser à l’une d’entre-elles.
Les deux grandes familles de science-fiction
Peut-être que certains d’entre-vous n’auront pas été tout à fait d’accord avec mon affirmation concernant Indiana Jones et Maléfique. Oui c’est fort possible que vous considéreriez que ces deux films ne soient pas si éloignés l’un de l’autre, car dans les deux cas il est question d’une aventure où les protagonistes risquent leur vie dans une suite d’actions toutes aussi périlleuses les unes que les autres. C’est donc une approche très subjective, car libre à chacun de ranger sa clé à molette dans le tiroir des clés plates ou dans celui des outils de plomberie.
Ce que je veux dire par là, c’est qu’il n’y a pas de définition absolue et que l’approche que je propose ici est donc, purement personnelle.
Vous serez en revanche, tous d’accords sur une chose:
La science-fiction implique majoritairement une technologie avancée.
Oui car dans science-fiction, il y a science,et donc technologie. Mais il y a technologie et technologie. Car on peut décrire n’importe quel système sans jamais avoir à aborder la façon dont il fonctionne. Ni même se soucier de savoir s’il pourrait, seulement fonctionner (physiquement parlant).
C’est pour moi le grand critère qui sépare deux types de science-fiction biens distincts:
- La science-fiction douce ou spéculative
- La science-fiction dure, également « Hard Science-Fiction »
Au sein de chacune de ces deux familles se distinguent encore d’autres sous-catégories, illustrant des thèmes repris couramment dans ces œuvres.
La science-fiction spéculative
Comme son nom l’indique il s’agit là de privilégier l’aspect fiction au détriment de l’aspect scientifique, qui devient plus spéculatif que réaliste. A partir de cet instant tout devient possible !
Des technologies qui défient les lois fondamentales
Pour moi le meilleur exemple de science spéculative est sans doute le célèbre sabre laser de la saga Star Wars.
Pourquoi ? Parce qu’il prend de sacrées libertés avec les lois de la physique !
Admettons qu’il soit possible qu’une civilisation avancée puisse concevoir une batterie capable de produire suffisamment d’énergie dans un espace aussi réduit que la poignée du sabre. Car il faut beaucoup d’énergie pour alimenter ce rayon laser surpuissant (puisqu’il peut traverser quasiment tout !).
Il est en revanche totalement impossible de lui conférer cette géométrie. Un faisceau laser ne peut en aucun cas « s’arrêter » à un endroit donné sans qu’un système ne convertisse ou ne réfléchisse son énergie. Or les lames des sabres laser de Star Wars ont une longueur limitée sans qu’aucun système ne soit visible à leur extrémité. La physique l’interdit formellement, et cette limitation n’est pas le fait de la technologie employée mais bel et bien des lois de la nature. Il en est ainsi aujourd’hui et il en sera toujours ainsi, même dans le futur pour une civilisation extrêmement avancée. Nous sommes donc en pleine science-fiction spéculative.
Une solution facile à des questions difficiles
Elle est aussi considérée parfois comme une façon d’éluder des problèmes sans solutions de son récit, et peut donc être considérée comme une histoire qui ne possèderait pas de réelle profondeur scientifique pour certains puristes hard-SF.
Pour reprendre l’exemple de la saga Star Wars, il y est mainte et mainte fois question de voyages à vitesse supraluminique pour se déplacer rapidement d’un point à l’autre de la galaxie. C’est à dire un moyen de voyager plus rapidement que la vitesse de la lumière.
Sans cette capacité, l’histoire telle qu’elle est racontée ne pourrait pas exister à l’échelle d’une génération de héros, puisqu’il leur faudrait des centaines d’années pour rejoindre les différents systèmes planétaires qui servent de décor à l’histoire. Et ce ne serait pas Luke Skywalker qui affronterait l’Empereur, mais leurs petits-petits-[…]-petits-fils qui se retrouveraient enfin pour un combat final dont ils auraient malheureusement tous oubliés la raison.
Permettre ce type de voyage ultra-rapide est donc la solution à ce problème de trame chronologique. Mais il n’est jamais vraiment question de la façon dont ils sont possible. Tout ce que l’on sait c’est que l’appareil qui permet d’atteindre cette vitesse est appelé un « hyperdrive » et que le voyage se fait en traversant « l’hyperespace ».
Je note que je ne fait ici référence qu’à la saga cinématographique et non aux romans qui, eux, apportent quelques clés supplémentaires.
Pour ces raisons, ce type de science-fiction est parfois assimilé à une sorte de science-fiction « bas de gamme ».
Bas de gamme ? C’est une question de point de vue !
Même si je classerais plutôt mes gouts et mon style d’écriture dans la catégorie opposée, c’est à dire la hard science-fiction, je ne partage pas cet avis acéré. Je ne crois pas que la SF spéculative soit forcément bas de gamme.
Bien sur, lorsque je lis un livre, j’aime apprendre des choses. Et donc lorsque j’écris, j’aime également que mes lecteurs en retirent des connaissances supplémentaires. Des connaissances tangibles, des réalités physiques.
Mais je ne fait pas un livre de vulgarisation scientifique (j’en n’en ai de toute façon pas le bagage) ! Je fais un roman, une histoire qui doit être divertissante et pas seulement instructive.
Tout dépend donc de ce que l’on y cherche, pour les uns ce sera l’évasion, le rêve, le divertissement. Pour d’autres s’ajouteront des idées, des découvertes, des projections.
La science-fiction dure
Cette fois c’est différent, et il va vous falloir enfiler vos lunettes, votre pull à maille et votre perruque à cheveux gras. On passe premier de la classe, petit génie, ou encore geek, nerd, enfin intello quoi…
Si vous n’avez jamais entendu parler de réaction de fusion nucléaire, de dilatation du temps, d’expansion de l’univers, de pont Einstein-Rosen ou encore de théorie des cordes….
Eh bien c’est le moment d’apprendre !
Car non, elle ne se destine pas uniquement aux élites et aux cerveaux surdimensionnés ! La science-fiction dure va mettre un point d’honneur à utiliser l’ensemble des ces lois et théories, mais en gardant toujours (ou presque) une certaine accessibilité pour le public.
Car l’objectif est que tout ça colle le plus à la réalité dans l’esprit du lecteur, montrer une science-fiction crédible, que chacun pourrait facilement imaginer demain dans les rues sans avoir à détenir un doctorat en physique des particules.
L’illustration ci-dessus montre une scène de l’anime Planetes, issu du manga éponyme du japonnais Makoto Yukimura. Son approche de la conquête spatiale est extrêmement réaliste, de même que les technologies employées. Il se passe dans un futur proche (2075) et invoque le problème des débris spatiaux en orbite terrestre dans un environnement économique dominé par de grands industriels privés. Il est un bon exemple de science-fiction dure.
Crédible technologiquement, mais pas seulement !
Eh oui car la science-fiction dure se veut réaliste dans tout les domaines. Comment s’identifier à un personnage utilisant des technologies conventionnelles mais évoluant dans un monde totalement fantaisiste ? L’histoire doit donc également être crédible socialement parlant.
Pour cette raison la plupart des romans ou films de hard SF prennent place dans un futur proche, et au sein d’une structure sociale qui n’est pas très éloignée de celle de l’auteur au moment de son écriture. Ou en tout cas, qui pourrait-être admissible aisément en quelques décennies d’évolution.
Il n’est donc pas question d’année 40’000 ou de « galaxie lointaine il y a bien longtemps ». La grande majorité de ces histoires vous propulsent quelques dizaines d’années après son écriture, et très souvent dans l’environnement proche de notre planète ou de notre système solaire.
Mais il peut arriver que certaines œuvres soient difficiles à classer. Par exemple le cycle de Dune de Franck Herbert.
Celui-ci est difficile à classer pour moi, car si certaines des technologies utilisées semblent crédibles et assez bien détaillées, il subsiste quelques points qui me pousseraient à le classer dans la catégorie de la SF spéculative:
- La structure féodale des trois principales familles, qui sonne comme un anachronisme en l’an 10’000.
- La période justement, l’an 10’000 est un peu lointain pour de la hard-SF.
- Et enfin, la faculté des navigateurs de la guilde à « replier l’espace » pour permettre le voyage instantané d’un endroit à un autre, qui ne repose sur aucune base scientifique concrète.
Néanmoins, pour rejoindre la conclusion de la partie précédente, cela n’en fait pas moins une excellente histoire, et nous emmène bien loin d’une SF bas de gamme.
Et l’aspect géopolitique ?
Comment pourrait-on espérer qu’un lecteur reconnaisse la carte du monde et s’identifie dans la géographie où vivent les protagonistes, si elle est totalement différente de ce qu’il connait ?
Partir sur des bases géopolitiques connues et leur offrir une destinée crédible fait également partie du challenge de la hard SF. Ce coté visionnaire est souvent décisif sur la puissance de l’immersion qui en découlera.
A ce sujet je ne peux que vous recommander l’excellente série des Univers Multiples de Stephen Baxter, ou même l’aspect financier des missions spatiales est réfléchi et mis en avant.
S’il m’était possible de m’approcher, ne serait-ce qu’un petit peu, de ce niveau de détail j’en serais pleinement satisfait.
Mais attention ! Une situation géopolitique familière, des bases scientifiques fiables, et une société futuriste et crédible ne font pas forcément une bonne histoire. A l’instar de la SF spéculative, la hard SF n’est pas synonyme de science-fiction haut de gamme.
Il est bien sur possible qu’une histoire trop axée sur la science semble rébarbative à certains, ennuyeuse, voire même incompréhensible. Il ne peut y avoir que cela, sous peine de rédiger un manuel scolaire en lieu et place d’une histoire palpitante et intéressante.
Encore une fois, tout dépend de ce que l’on attend de l’histoire, et tout dépend de la façon dont l’auteur aura marié ces différents aspects, afin de donner une rythmique au récit sans pour autant s’éterniser sur des détails inutiles. Insuffler du suspens, donner des réponses, et surtout provoquer cet effet recherché par tous les auteurs: Accrocher son lecteur !
Les sous-catégories de science-fiction
Si l’on veut encore affiner notre approche, ce découpage en deux groupes ne saurait suffire. Il nous faut diviser ces deux grandes familles en sous-catégories. Je me propose donc de vous en présenter les principales, tout en les agrémentant d’exemples pour que, si le cœur vous en dit, vous puissiez vous-même explorer ces zones de la SF que vous ne connaissez peut-être pas.
Le Voyage Temporel
C’est un thème qui mérite sans aucun doute sa propre sous-catégorie. Il a déjà été décrit sous toutes ses formes, et traité avec plus ou moins de sérieux.
La trame commune restant toujours plus ou moins la même, mettre en image les paradoxes temporels et plonger le lecteur dans la perplexité. C’est ce qui me plait le plus dans une histoire, continuer de réfléchir alors même qu’elle est achevée.
Les moyens utilisés sont souvent les mêmes, évidemment, car les techniques qui permettraient éventuellement de faire ce type de voyage sont très limitées.
Elles sont également sujettes à un grand nombre de controverses dans le milieu scientifique. Non pas des polémiques sur leur contenance, mais sur l’interprétation de leurs résultats et la résolution des paradoxes qui en découleraient.
Il y a tellement de choses à dire sur le voyage dans le temps qu’il mériterait un article à part entière. Mais en attendant je me contenterai de proposer quelques ouvrages qui le développent comme l’une de leur principale composante:
Le grand classique « La machine à explorer le temps » de H.G. Wells, et la suite écrite par Baxter « Les vaisseaux du temps ». Sans oublier bien sûr, le très célèbre roman du français Pierre Boulle: « La planète des singes ».
Le Space Opéra
Vaste catégorie qui englobe les saga gigantesques, les univers entiers, les bestiaires hors normes des plus grandes séries de romans de science-fiction. Vous l’aurez compris, ces catégories ne sont pas mutuellement exclusives puisque certaines œuvres pourraient très bien appartenir à plusieurs d’entre-elles.
Je pense notamment au cycle d’Hypérion qui a sans conteste sa place dans le Space Opéra, mais qui pourrait très bien occuper un siège dans la catégorie précédente également.
Quoi qu’il en soit, cette catégorie englobe les histoires reposant sur un minimum de réalisme scientifique et contant de grands voyages interstellaires conduisant vers des mondes multiples au sein de gigantesques corporations qui ont colonisées des galaxies entières. Celles où il est question de races extra-terrestres, de multitudes de gouvernements, de géopolitique complexe, de guerres galactiques, bref. De la SF grand format !
Est-ce bien nécessaire de donner des exemples ? On y retrouvera bien entendu la saga Star Wars, Star Trek et Stargate pour le cinéma, mais également le cycle d’Hypérion de Dan Simmons, celui de Dune de Frank Herbert, et celui de l’Odyssée de l’espace de Arthur C. Clarke.
L’Uchronie
Ce doit être, je pense, l’un des thèmes les moins développé au sein de la science-fiction. Il s’agit de mettre en scène notre société, notre monde, tout en modifiant un fait historique d’importance. Le lecteur se retrouvant alors projeté dans un monde à la fois proche, et éloigné de celui dans lequel il vit réellement.
Par exemple, si l’on imaginait une histoire décrivant ce qu’il se passerait en l’an 2015 si la chute de l’empire romain n’avait pas eue lieu, ou si Napoléon n’avait pas connu de défaite. Ou encore si les forces de l’axe avaient gagné la seconde guerre mondiale, et que les USA étaient partagés entre les allemands et les japonais comme dans le roman: Le Maître du Haut Château de Philip K. Dick.
Mais on peut aller plus loin encore, comme lorsqu’un roman uchronique prend place au sein d’un cycle de romans. On peut alors avoir des situations très compliquées, où l’auteur va provoquer une uchronie au sein de son propre univers de fiction (chose très familière aux lecteurs de Comics Marvel par exemple). Il faut donc connaître l’univers de l’auteur avant de lire l’ouvrage pour déceler l’uchronie.
Il peut aussi être un moyen de modifier notre histoire réelle afin d’accélérer certains événements de notre évolution et permettre à une histoire de SF de prendre place directement à notre époque. C’est ce qu’a fait Stephen Baxter dans son roman Voyage. En empêchant l’assassina de J.F. Kennedy, il a ainsi accéléré le développement du programme spatial américain et ouvert la route vers Mars avant l’heure.
La SF Fantastique et la Space Fantasy
Cette fois on s’éloigne un peu plus de l’aspect scientifique et on trouve rarement de la hard SF dans ces catégories. La SF Fantastique et la Space Fantasy ouvrent la voie à une approche encore plus méta-physique mais aussi plus poétique. Ici il est question de vie après la mort, de phénomènes paranormaux ou psychiques, voire même de magie.
Il s’agit bien de deux styles différents, alors pourquoi les mettre dans une seule et même catégorie ? Parce qu’à mon sens les problématiques soulevées et les thèmes abordés dans ces deux types de SF sont très proches.
Là ou la Space Fantasy parlera de « Force », de magie, et de personnages de légende; la SF Fantastique parlera de revenants, de petite fille aux pouvoirs psychiques, de télékinésie. Si l’un est plutôt axé sur un aspect mystique, l’autre se veut plus rationnel et parfois plus effrayant. Mais les deux thèmes sont tous deux totalement en dehors de l’approche scientifique pure de la SF. Ici la SF sert surtout de décor ou de support à une histoire qui cherchera plutôt à s’exprimer du côté psychologique ou merveilleux.
Le réalisme scientifique n’est plus une composante à part entière, même si il n’est parfois pas très loin comme dans le roman Solaris de Stanislas Lem qui donnera plus tard plusieurs adaptations cinématographiques et qui pourrait être considéré comme de la hard SF.
Dans cette histoire, les habitants de la station spatiale subissent l’influence psychologique de la planète Solaris, qui semble lire en eux les plus douloureux de leurs souvenirs pour mieux les matérialiser. Le lecteur oscille alors entre fantastique et réalité car les fantômes créés par l’océan de Solaris pour communiquer, sont bel et bien réels. Mais ils ne sont que des copies issues des souvenirs des protagonistes.
La SF Post Apocalyptique
Comme son nom l’indique, il s’agit là de mettre en scène un drame cataclysmique qui bouleverserait l’humanité ou même l’annihilerait. Les survivants devant faire face à un monde dévasté, parfois même invivable et dans lequel les règles ont changé. A noter que le cataclysme en question n’est pas nécessairement un danger venu de l’espace, il peut aussi être le fruit de l’homme et de ses excès. Les exemples dans le cinéma sont légion et bien connus de tous, même s’ils ne le sont pas forcément pour leur qualité…
Dans cette catégorie il existe une grosse nuance entre les histoires qui relatent la survie dans ce monde d’un ou plusieurs personnages comme la nouvelle Un gars et son chien de Harlan Ellison. Et celles qui ne se servent de cet événement que comme un tremplin vers une autre trame scénaristique.
Pour cette dernière raison, il est assez courant que le côté post-apocalyptique soit très superficiel, et qu’il ne serve qu’à véhiculer un message plus spirituel. Comme par exemple dans la trilogie Pierre de sang de David Gemmell (qui a été partiellement adaptée au cinéma dans Le livre d’Eli), mais là on repasse dans le Fantastique.
Pour conclure
Tous ces genres, tous ces styles illustrent la grande diversité et la grande richesse de cette catégorie que l’on résume à de la science-fiction. Les nombreux courant, inspirent quantité d’histoires différentes, intéressantes où simplement immersives. Quoi qu’il en soit, chacun y trouvera son compte et c’est quelque chose que vous pourrez répondre la prochaine fois que l’on vous dira: « Oh moi la science-fiction c’est pas mon truc, et puis c’est toujours la même chose… » 🙂
Peu de domaines scénaristiques peuvent se targuer d’être aussi riche que celui-ci, et j’espère que cet article vous aura permis de découvrir de nouvelles œuvres qui permettront de garnir votre table de chevet. Et peut-être même de voir la science-fiction d’un œil nouveau si vous n’étiez pas un grand fan à la base.
Liste des ouvrages cités:
Je vous livre donc l’intégralité des œuvres de SF que j’ai cité en exemple dans cet article, pour une lecture plus simple et un lien si vous souhaitez l’acheter.
Littérature:
(dans l’ordre d’apparition au sein de l’article)
Cinéma:
- Dune (David Lynch – 1985)
- Moon (Duncan Jones – 2009)
- Le livre d’Eli (Frères Hughes – 2010)
- Star Wars (George Lucas – 1977)
Séries:
- Planetes (anime en 26 épisodes – 2003)
- Stargate SG1 (10 saisons de 20 épisodes – 1997-2006)
- Star Trek (3 saisons de 24-29 épisodes – 1966-1969)